L'industrie cosmétique va désormais encore plus loin en ayant recours à l'agroécologie pour cultiver ses principes actifs. Une bouffée d'air frais aussi vitale qu'enthousiasmante.
Le chef tasmanien Matthew Evans vient d'écrire un livre nommé « Soil » (sol en français) tandis que l'ONG créée par la top Arizona Muse s'appelle Dirt (littéralement terre, ou boue) : deux mots bien plus simples à comprendre que les termes « agro-écologie » (le nom officiel français, inscrit au Code rural), « agriculture régénérative » (sa version marketing) ou « permaculture » (plutôt utilisé en jardinage). Mais l'ouvrage comme l'association s'intéressent pourtant à ces techniques, dont le but est de rendre le sol vivant et riche. L'agriculture intensive développée au siècle dernier a eu l'effet inverse : elle l'a appauvri. L'agroécologie promet de renverser ce cercle vicieux. En le nourrissant, le sol nourrira les plantes, donc les hommes. Le but, en quelques mots, est de retrouver un sol de forêt. Soit riche en matières organiques, vers de terre et bactéries.
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